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Eje Futuro - Page 36

  • Mme Taubira devrait consulter un psy – par Guillaume Faye

    Mme Taubira devrait consulter un psy - par Guillaume Faye

    Mme Taubira devrait consulter un psy – par Guillaume Faye

     

    28/07/2014 – PARIS (via le blog de Guillaume Faye)
    Mme la Garde des Sceaux présenterait-elle les symptômes associés de paranoïa et de schizophrénie légères, associés à des bouffées d’autoritarisme et de ressentiment ? Mais aussi d’assouvissement d’une vengeance, qui s’explique par le phénomène de la ”compensation” : compenser un complexe d’infériorité par une posture intolérante et menaçante.

    Mme Taubira (photo) a été blessée par les allusions et jeux de mots douteux, d’ailleurs exagérément médiatisées, la comparant à une ”guenon”.(1) Elle a réagi dans un essai qu’on peut qualifier de brûlot, Paroles de liberté, paru chez Flammarion, où elle livre sa conception de la République, de la liberté et de la démocratie, qui développe des idées très éloignées de ces traditions politiques.

    Paranoïa : elle se prend tout d’abord pour une victime du racisme et pour l’icône du grand combat antiraciste, dont elle serait le symbole, une sorte de Mandela au féminin. Faisant l’apologie de la société multiethnique et multiraciale – donc de l’immigration incontrôlée et de la colonisation de peuplement de la France – elle fustige avec haine le modèle d’une France de souche identitaire « intellectuellement et spirituellement consanguine et donc porteuse d’un terrifiant appauvrissement, de tous les étiolements et affadissements ». Petite musique bien connue de l’ ”immigration, chance pour la France”.

    La passionaria Taubira prêche pour sa chapelle. Tout d’abord, ses éructations contre une société homogène d’origine européenne s’apparentent à du racisme intellectuel anti-Blanc, ce qui n’a pas l’air de gêner cette antiraciste professionnelle. Ensuite pourquoi ne vilipende-t-elle pas les sociétés monoraciales d’Afrique et d’Asie qui ne connaissent pas l’immigration et ignorent cette belle ”diversité” ? Deux poids, deux mesures. Enfin, elle semble ignorer, avec l’aveuglement de sa famille de pensée, que toute société multiculturelle et multiethnique est le terreau du racisme, de la violence et du désordre.

     

    Schizophrénie : assimilant les propos racistes dont elle se prend pour une victime martyrisée aux remugles du colonialisme français de jadis, elle s’estime bestialisée et cite goulument Les Damnés de la Terre de l’idole du marxiste tiers-mondiste Franz Fanon, le penseur des midinettes gauchistes de Mai 68. Pour elle, les Français de souche doivent expier leur crime colonialiste et esclavagiste. Contradiction douloureuse : elle vomit le colonialisme français, mais elle en est la fille. Elle était indépendantiste guyanaise, elle ne l’est plus, évidemment. Pourquoi ? Parce que la France ” de souche”, qu’elle déteste, lui a offert sa carrière sur un plateau. Elle est attirée par ce qu’elle hait secrètement et elle hait secrètement ce qui l’attire. Que serait-elle si elle était simple Guyanaise et si la France ne lui avait pas procuré sa nationalité et inculqué sa culture ? Presque rien. Tous les indépendantistes des DOM-TOM ont fait le même calcul et retourné leur veste. Leur indépendance, ils sont incapables de l’assumer. MmeTaubira, dans son ignorance prétentieuse, oublie aussi que le colonialisme impérial était une idéologie de gauche, entièrement associée à la République.

    Le discours de la calamiteuse Garde des Sceaux est un concentré d’idéologie dominante bien-pensante et de tolérance feinte, fondamentalement répressive et intolérante. Il a des relents néo-totalitaires évidents. Avec ce paradoxe : elle traite d’ « antidémocratiques » les opposant au mariage homosexuel(2) et d’ « antirépublicains » les critiques de la société multiculturaliste et de l‘immigration de peuplement, exigeant contre eux une sévère répression ; mais en même temps, toute sa politique pénale vise à construire l’impunité des délinquants, dont l’origine majoritaire est bien connue, délinquants présentés comme des révoltés et des victimes. Intolérance pour les uns, tolérance pour les autres. Se laissant aller, la passionaria a cette formule où elle jette bas le masque : « cette bataille est essentielle et urgente ; nous la livrerons et nous ne ferons aucun quartier ». Aimable propos pour une Garde des Sceaux censée être impartiale. ”Pas de quartier” : le slogan des pirates.

    Comme tous les Vertueux autoproclamés, dans la lignée de Saint-Just, elle ne s’embarrasse pas de morale Elle est au centre d’une polémique sur les écoutes de Nicolas Sarkozy et de Me Herzog où elle a menti en essayant maladroitement de se rattraper en prétextant une perte de mémoire, puis en suivant une autre tactique qui a fait flop. Elle est impliquée dans une affaire judiciaire concernant une curieuse association. Pas une semaine ne se passe sans que Mme Taubira ne donne le spectacle d’une excitée vindicative qui ne contrôle pas ses nerfs. Chacune de ses apparitions médiatiques ressemble à l’entrée d’une égérie surexcitée dans une pièce de boulevard. Est-il normal qu’une Garde des Sceaux, ministre de la Justice, un poste qui requiert plus que tous un grand équilibre psychologique, une sérénité, une sagesse soit à ce point déséquilibrée et partiale ? Dès qu’elle ouvre la bouche, c’est pour hurler.

    Mme Taubira – et elle l’avoue dans son livre maladroit – a entrepris une ”bataille”, selon ses propres termes, contre la France de souche, fidèle à son histoire et à ses racines. Une bataille qui a des relents doucereusement racistes….Menée au nom du concept de ”république”, une bouteille à la belle étiquette dans laquelle on met le vin qu’on veut, comme jadis les staliniens communiste avec le concept de ”démocratie”.

    Éric Zemmour écrit : « A la lire, on comprend que tous les moyens seront bons : l’indignation de façade, les menaces et les invectives et les mensonges, la culpabilisation forcenée, les campagnes médiatiques de propagande, la destruction de ce qui nous est le plus cher, les mesures liberticides. Ce livre est une déclaration de guerre au peuple français, s’il lui prenait l’envie de redresser la tête et de ne plus subir le joug de ses maîtres bien-pensants. » (Le Figaro, 13/03/2014).

    Peu compétente, imbue d’elle-même, idéologue militante tentée par le fanatisme, se prévalant de ”culture”(3), elle a été nommée à ce poste gouvernemental pour le symbolisme de ses origines ethniques : raisons politiciennes du PS, pour séduire avec démagogie l’électorat de la ”diversité”. Il suffit d’observer toutes les interventions de Mme Taubira, d’étudier ses déclarations, d’observer ses expressions, de lire ses textes pour comprendre que cette femme brillante fonctionne toujours sur un registre d’exaltation, d’agressivité, d’indignation feinte, de frustration d’institutrice colérique.

    Mais ses outrances nuisent à son camp : déséquilibrée, elle déséquilibre sa cause. Vaniteuse, elle croit trop vite à la victoire de ceux dont elle se veut l’égérie. Victime fantasmée, elle ne s’imagine pas comme victime réelle. Mme Taubira est le plus mauvais joker de la gauche. Mais son grand mérite est d’avoir abattu son jeu avant la fin de la partie : elle va réveiller ce qu’elle croyait étouffer. Merci, Madame de ne pas savoir jouer au poker.

    Guillaume Faye

    Crédit photo : DR

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    Notes :

    (1) Comme l’ai dit précédemment dans ce blog, il est évident que les (rarissimes) propos racistes bas de gamme contre Mme Taubira, par ailleurs délibérément exagérés et enflés par les médias, ont servi sa stratégie de victimisation.

    (2) Très prétentieuse mais redoutablement habile, elle a réussi à s’attribuer la paternité de loi sur le ”mariage pour tous” qui était prévue depuis longtemps et qui ne lui doit rien.

    (3) Vous connaissez le proverbe : « la culture, c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale ».

  • El Gobierno gasta 1,5 millones de euros en ropa, calzado, menaje y productos de higiene para los ilegales de Melilla

    FM.- El Gobierno central destinará más de 1,5 millones de euros a la compra de ropa, calzado, productos de aseo y menaje para los residentes del Centro de Estancia Temporal de Inmigrantes (CETI) de Melilla. La partida que el Ministerio de Empleo, del que dependen estas instalaciones, invertirá en nuestra ciudad es casi el doble del que gastará en el CETI de Ceuta. La sobreocupación constante del centro en Melilla puede estar detrás de esta variación presupuestaria. En la ciudad caballa, el valor del contrato es de 876.898 euros, según publicó ayer el Boletín Oficial del Estado (BOE).

    Según se indica en el BOE, con este presupuesto se cotratará el suministro para los próximos doce meses y el acuerdo podrá prorrogarse un año más. Las empresas interesadas en hacerse con la adjudicación podrán presentar sus ofertas hasta el próximo 2 de julio en las dependencias de la Junta de Contratación del Ministerio de Empleo.

    Entre los requisitos que se exigen a la empresa que se haga con este servicio se encuentra, además de la obligación de suministrar el material en perfectas condiciones, que ésta cuente con un servicio de entrega urgente, para pedidos extraordinarios. Así, cuando se produzcan necesidades fuera de lo habitual, como las que surgen cuando hay saltos masivos como el de este miércoles, la adjudicataria tendrá que traer el pedido a Melilla en un plazo de menos de 48 horas. En situación normal, el tiempo de espera para recibir el pedido no será superior a siete días.

    Casi 400.000 euros en ropa

    La mayoría de la ropa de este suministro es de caballero. Por ejemplo, el contrato incluye 5.226 chandal de hombre, frente a sólo 624 de señora. La razón es evidente: La mayoría de los residentes son varones. La prenda más cara es el chaquetón de niño, con un importe máximo de 27,5 euros, el de señora, que cuesta 18,25 euros y el de hombre, con un coste de 18 euros. Las camisetas de interior blancas cuestan 1,50 euros y 3,75, dependiendo de si son para mujer, hombre o niño y de las tallas. El precio de los calcetines oscila entre los 40 céntimos de euro y los 95 céntimos. Para los hombres y los niños también se piden bañadores, cuyo coste no podrá superar los 7,5 euros.

    Los pantalones para inmigrantes serán piratas azules, negros, rojos o grises, de 12,5 euros o cortos, de los mismos colores, con un coste máximo de 5,5 euros. No se piden pantalones largos, al margen del chándal. Para la noche, se suministran pijamas de invierno y verano para todas las edades, cuyos precios oscilan entre los 12 y los 7 euros. Los polos con los que habitualmente se ve a los subsaharianos recién llegados a la ciudad también se incluyen en este lote, con un coste de 12,5 euros. El CETI necesitará,además, más de 5.000 slips de hombre, 600 sujetadores de mujer y una cantidad idéntica de bragas.

    La partida más elevada del lote de ropa es la de chándal de hombre, con un presupuesto total de 65.325 euros. En total, el Ministerio destina 394.100 euros a ropa para los inmigrantes que viven en estas instalaciones.

    En cuanto al calzado, sólo hay tres tipos, botas de agua, chanclas y zapatillas de deporte blancas. El importe total de este lote es de 100.920 euros, de lo que la mayor parte está destinada a botas de agua para adultos, azules o negras, en las que se invertirán 43.875 euros.

    Sábanas e higiene

    El contrato de suministro incluye también una partida para sábanas, toallas y mantas. En total, el dinero destinado asciende a 123.541 euros. Todos serán blancos, excepto las mantas de las cunas, para las que se piden estampados infantiles.

    El último lote del contrato es para productos de aseo e higiene. Cepillos de dientes, champú, colonia, compresas, maquinillas de afeitar, desodorante, esponjas, espuma de afeitar, gel de baño, jabón, pañales, papel higiénico, peines y pasta de dientes se incluyen en este apartado. Además, también se piden cucharas, jarras, tazas y tenedores. En total, el presupuesto es de 142.941 euros. Lo más caro, los pañales, con un coste de 8,75 cada pack y las esponjas de baño infantil, con un precio de 4,25 euros.

    Hay que recordar que tras la última entrada masiva de inmigrantes, que se produjo este mismo miércoles, los responsables del CETI de Melilla se vieron obligados a pedir algunos productos a la Comandancia General de Melilla (Comgemel) para poder atender a todos los subsaharianos. En ese momento había unos 2.300 residentes en las instalaciones, aunque en lo que va de semana se ha trasladado a unos 300 a otros centros de la península.

    En esta partida no se incluye el importe de los traslados gratis en taxi, a cargo de la administración, entre el CETI y el centro de salud.