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  • “L’archéofuturisme V2.0″, un dernier plaisir avant 2013 !

    8 décembre 2012

    “L’archéofuturisme V2.0″, un dernier plaisir avant 2013 !

    28/12/2012 – 10h00
    PARIS (NOVOpress) -
    Vous pensez que tout espoir est perdu pour l’homme blanc ? Vous avez tort. C’est ce que démontre Guillaume Faye, à travers la suite (constituée de plusieurs nouvelles) du célèbre ouvrage traduit en plusieurs langues « l’Archéofuturisme », suite éditée par la Diffusion du Lore. Véritable plaisir littéraire de cette fin d’année 2012, il redonnera du coeur à l’ouvrage à tous ceux qui luttent au quotidien, en faveur de la défense de l’enracinement charnel.

     

    À travers un ensemble de nouvelles qui nous mènent de la veille du conflit de 1914 à plusieurs milliers d’années après, le lecteur comprendra vite que l’avenir est avant tout un long passé, un renouvellement et une amélioration permanente de ce qui existe ou a déjà existé, ici ou ailleurs.

    À la veille de 1914, des jeunes Français riches et insouciants se retrouvent face à une voyante célèbre qui leur prédit un avenir sombre pour l’Europe, déchirée par les guerres fratricides, puis par la mondialisation et le progrès sans limite et enfin par une vague migratoire sans précédent, qui emportera tout sur son passage, provoquant des changements sans précédent et un chaos mondial.

    Malgré cela, la mémoire se transmet, mémoire matérielle, mais aussi instinctive et orale, et des foyers, d’Europe ou d’outre-Atlantique, renaissent, construisent, se développent de nouveau, différemment des civilisations qui les ont précédés, mais avec cette sensation pour le lecteur d’un éternel retour, qui lui permet clairement de s’identifier aussi bien aux tribus néomédiévales Voroi peuplant l’Oural au XXIIème siècle qu’aux civilisations technologiquement supérieures qui nous suivront, sur Terre, mais aussi sur Mars, dans les centaines de siècles à venir.

    Quel lien y a-t-il entre Jeanne, femme de France au sang noble, violée et assassinée en ce début de XXIème siècle par des hordes de « chance pour l’Europe » et Delphina Pythia, chanteuse pianiste célèbre vivant en 4086 ? Quelle est l’utilité d’enfermer pendant des siècles dans un coffre, un révolver datant de la guerre 14-18, des balles et du cuir sur lequel sont gravés plusieurs alphabets européens ?

    Que découvrira un marin-explorateur nommé Kristomb dans plusieurs siècles, après avoir traversé la mer avec ses caravelles du futur ?

    Pourquoi la technologie et la volonté de repousser toujours les limites connues conduiront systématiquement l’homme européen à grandir, puis à se rétracter, avant de renaître ?

    C’est à ces questions, et à de nombreuses autres, que répond cet opus de 205 pages, signé Guillaume Faye. « Il restait à peu près une trentaine de minutes avant l’arrivée des barbares. Elle pensa à se suicider en se jetant du haut des remparts dans la Manche. Mais ce n’était pas honorable de la part d’une descendante du marquis de Cinq-Fort mort au combat. Elle descendit lentement sur la jetée, marcha d’un pas déterminé vers le troupeau de crabes sombres. Elle leur barra la route du Mont St Michel, les mains sur les hanches, sachant qu’elle allait mourir, violée, dépecée. Et elle cria à la gueule des gueux qui s’avançait cette étrange formule, qu’elle avait entendu prononcer dans son enfant sans en comprendre le sens, mais qui soudain, intuitivement, lui semblait d’une évidence solaire : “Un jour, Apollon reviendra et ce sera pour toujours” ».

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • ¿CUALES SON LAS SOLUCIONES? EL PRINCIPIO DE LA RECONQUISTA.

    El punto de vista de partida es que la tercermundización de Europa es a largo plazo inaceptable, como fue inaceptable por aquellos pueblos que sufrieron la colonización europea. La diferencia es que la colonización del Tercer Mundo por Europa fue provisional y no tomó la forma de una colonización de la población. La otra diferencia es que el colonialismo europeo fue civilizador, y evidentemente destructor de las sociedades tradicionales (pero no de sus culturas y religiones), y que su resultado fue la explosión demográfica del Sur y de Oriente y su incremento de poder. A la inversa, la colonización de Europa por sus antiguas colonias no comporta ningún efecto civilizador, tiende a ruinar nuestro equilibrio demográfico, sobrecarga nuestras economías y destruye nuestras identidades culturales.

    En pocas palabras, la colonización europea fue globalmente negativa, sobre todo para Europa, mientras que la colonización de Europa por el Tercer Mundo es positivo para este último y aún más dañino para nosotros. Se puede decir que el colonialismo europeo y la colonización de Europa son en el fondo un mismo movimiento de flujo y de reflujo, y que el segundo es la consecuencia del primero.

    Los bien-pensantes han combatido el colonialismo (y el neocolonialismo) en nombre del principio de caridad, de conmiseración y de amor hacia el Otro, ya que los Europeos eran considerados culpables de destruir y de explotar todos los pueblos de ultramar. Pero rechazan admitir que la inmigración y la colonización de Europa por el Sur y Oriente destruyen todavía más la civilización europea. Y aún más, se despreocupan de ello. Son xenófilos y etnomasoquistas, los "porta-maletas" amigos del FLN durante la guerra de Algeria hasta los lobbies inmigracionistas de hoy.

    El destino de las civilizaciones extranjeras les es mucho más preciado que el de la suya propia. Es necesario hoy invertir las preferencias: solamente debe contar el destino de la civilización europea y de sus pueblos autóctonos. ¿Qué nos importan las civilizaciones, pueblos o las culturas extranjeras? Es por nosotros mismos que debemos combatir, y no por la humanidad. Seamos al fin etnocéntricos.

    Esta posición no significa que los Europeos deban desinteresarse por la suerte global del planeta. En el "mundo llano", donde todos los pueblos son interdependientes, hace falta resolver conjuntamente aquellos que son los conflictos de interés y de poder, las cuestiones centrales tales como la protección del entorno natural y del ecosistema o la prevención de las guerras nucleares. Pero nuestro cuidado respecto del destino de la humanidad está subordinado al nuestro propio.

    Este es el principio de la subsidiariedad aplicada a la medida de la humanidad en la que cada uno está en su sitio, cada uno es responsable de su sociedad, de sus costumbres, del estado de su cultura; pero cada uno es corresponsable del planeta, de Gaia, de esta bola azul y minúscula que rueda en el universo. Estamos todos embarcados en la misma nave, a la vez solidarios y adversarios.

    Debido al hecho de la naturaleza humana, la cooperación de las civilizaciones, y los grandes bloques étnicos deben parecerse a una paz armada. El expansionismo irresponsable del islam o de los Estados Unidos, universalismos proselitistas poco cuidadosos de la diversidad humana, monoteísmos fanáticos, no saben admitir más que la ley de la fuerza. Esto es porque la civilización europea debe restaurar su poder, y primero su identidad, es decir, proceder a una reconquista de su propio espacio. Reconquista cultural y reconquista física. Purga del alma, y purga del cuerpo.

    Creer que se podrá limitar la colonización, dirigirla, creer que las minorías no devendrán mayorías; creer que no nos arriesgamos a ser sumergidos en dos generaciones si el sistema actual perdura, todo esto surge de los sueños despiertos.

     

    La Colonización de Europa.